La fin du platique à New York

La pandémie COVID-19 a bouleversé de nombreuses politiques de recyclage existantes, en particulier celles impliquant le plastique.

Maintenant, bien que cela puisse en fait être un peu une bénédiction déguisée - car cela met en évidence les défauts de notre foi touchante mais déplacée dans les correctifs techniques tels que l'appel à la fée du recyclage pour résoudre notre problème de plastique - l'effet net de l'annulation de nombreux recyclages est de nous charger de plus de déchets dont nous devons nous débarrasser.

(Pour plus de détails sur la façon dont la pandémie a - temporairement? - tué le recyclage, voir mon article précédent, Coronavirus Kayoes US Recycling, ainsi que ces points croisés subséquents par d'autres, les ordures s'accumulent et le recyclage s'est bloqué - Les systèmes de déchets doivent s'adapter et recycler Ne suffit pas pour lutter contre l'aggravation de la crise mondiale de la pollution plastique).

Dans ce contexte, New York a finalement mis en œuvre son interdiction de la plupart des sacs en plastique à usage unique, qui devait initialement entrer en vigueur en mars. À ce stade, il faut applaudir l'interdiction de New York, qui est régulièrement marche de l'avant malgré l'aggravation constante de la crise du COVID-19, qui a vu une deuxième vague d'infection se produire dans des endroits qui avaient présumé que l'infection avait été maîtrisée, y compris New York et une grande partie de l'Europe. Bien sûr, mon côté le plus cynique se sent obligé de signaler que cette interdiction est exactement le genre d'approche de signalisation vertueuse à faible coût de la politique publique qui passe pour une action sérieuse dans ces États-Unis, donc je n'ai pas été surpris de voir notre vieil ami, Andrew Cuomo, qui a fait un travail si lamentable avec COVID-19, a signé la mesure dans la loi, en mars 2019 en disant:

 "Vous voyez des sacs en plastique suspendus dans les arbres, soufflant dans les rues, dans les décharges et dans nos cours d'eau, et il ne fait aucun doute qu'ils causent d'énormes dégâts", a déclaré le gouverneur Cuomo lorsqu'il a signé la loi. «Douze millions de barils de pétrole sont utilisés pour fabriquer les sacs en plastique que nous utilisons chaque année et d'ici 2050, il y aura plus de plastique en poids dans les océans que de poisson. "(Voir L'interdiction des sacs en plastique à New York est enfin appliquée dans les entreprises de tout l'État).

 L'interdiction de New York rappelle que l'apparition du COVID-19 n'a hélas pas chassé nos autres problèmes. Pourtant, plutôt que de louer notre capacité à cueillir des fruits aussi faciles à obtenir, nous devons maintenant nous attaquer à certains des problèmes plus larges qui découlent de notre dépendance à l'égard des emballages en plastique, qu'ils soient à usage unique ou non.

 Détails des changements à New York

 Comme le rapporte Spectrum News NY1 lundi dans l’interdiction des sacs en plastique de New York,

 En vertu de la loi, les clients doivent apporter leur propre sac ou payer des frais de cinq cents pour un sac en papier. Si les détaillants distribuent les sacs en plastique à usage unique, ils seront condamnés à une amende.

 Surtout, l'interdiction des sacs en plastique n'inclut pas les sacs de produits pour la viande, le poisson, les légumes ou les fruits.

 L'interdiction a été retardée par la pandémie, car une partie cruciale était que les clients apportaient leurs propres sacs jetables. Ceux-ci ont été considérés comme un vecteur possible pour la transmission du COVID-29.

 Un autre obstacle était un procès intenté par Poly-Pak Industries de Long Island. Ce En août, ce fabricant a perdu son offre devant la Cour suprême de l'État de New York et, comme le rapporte le New York Post dans le lancement de l'interdiction des sacs en plastique à New York depuis longtemps:

 Le mois dernier, le juge a donné le feu vert pour que l’interdiction se poursuive tant que les commerçants avaient un préavis d’un mois.

 La dernière fois que j'étais à New York, en décembre 2019, j'ai observé de nombreux marchands se préparer à se conformer à l'interdiction. Ainsi, la nature de la mise en œuvre de type «start-stop» a peut-être malmené bon nombre d'entre eux, mais les registres comme un petit défi à d'autres entreprises de vente au détail ont dû faire face cette année.

 De plus, cependant, comme le rapporte le Post dans l’interdiction des sacs en plastique du 19 octobre à New York, qui répond à de nouveaux défis, d’autres poursuites intentées par des bodegas et des supermarchés sont toujours en cours.

 Soutien aux entreprises pour le changement

 Malgré ces poursuites, Spectrum News NY1 rapporte que certaines entreprises et d'autres et d'autres voient la justification du changement:

 Si certains propriétaires d'entreprise restent incertains de l'impact que cela peut avoir sur entreprise, d’autres considèrent qu’il s’agit d’un changement nécessaire.

 «Soutenir l'interdiction des sacs en plastique est un moyen pour nous de soutenir un changement positif dans notre monde», a déclaré Badr Alsaidi, qui possède quelques bodegas dans le Bronx.

 Alsaidi se prépare à l'entrée en vigueur de l'interdiction et l'accepte pour ses avantages environnementaux.

 «Le plastique en général est une cause majeure du changement climatique. C'est une façon pour nous d'intervenir dans le recyclage », a ajouté Alsaidi.

 Alsaidi travaille également avec la Yemeni Americans Merchant Association, un groupe travaillant à éduquer les propriétaires d'entreprise sur la manière de s'adapter à l'interdiction.

 «Oui, cela crée beaucoup d'incertitude, de tension entre les clients et les commerçants. Comme vous l'avez mentionné, les clients ne veulent pas utiliser un autre sac ou n'en ont pas à la maison », a expliqué Alsaidi.

 Les propriétaires d'entreprises à qui nous avons parlé et qui étaient contre l'interdiction ne voulaient pas passer à la caméra, même si certains d'entre eux ont déclaré que c'était un fardeau financier de devoir acheter plus de sacs en papier, et leurs clients préfèrent simplement le plastique. D'autres pensent que c'est trop tôt pour faire appliquer l'interdiction parce que nous sommes toujours dans une pandémie.

 Un client à qui nous avons parlé n’en a pas du tout hâte.

 «Ça va être dur. Nous sommes tous habitués à avoir ces sacs. Nous avons l'habitude de les porter », a déclaré le client.

 Et pourtant, d'autres acheteurs ont déclaré que les avantages l'emporteraient sur les inconvénients.

 «Cela va améliorer l’environnement», a déclaré l’un d’eux. «Vous voyez les sacs en plastique dans la rue. Je pense que s’ils disent aux gens de ne pas utiliser le plastique, cela s’améliorera beaucoup. »

 Cette interdiction de New York est un petit pas vers le contrôle du problème du plastique, mais il reste encore beaucoup à faire contre le fléau du plastique non seulement à New York mais dans d'autres États du pays - sans parler des initiatives qui doivent être entreprises à travers le monde. .